Une semaine pas trop agréable [CSI:NY, SMACK, RP] -> part 1

A l'idée d'avoir Mac rien que pour moi un large, très large sourire s'installa sur mon visage.

-N'oubliez pas de réserver sinon on n'aura pas l'air malin s'il n'y a plus de place au restaurant.

J'adorais le taquiner. Je savais qu'il le prenait comme tel donc de temps en temps je lui lançais ce genre de petites remarques. Je me rappellerais toujours de la fois où je l'avais embêté sur sa manière de draguer. Sur Second Life il était peut-être pas très doué mais en vrai il avait su me prendre dans ses filets. En tout cas ce jour là avec Adam on s'était bien marré...

-Faut vraiment que j'y aille maintenant.

Je disais ça aussi pour m'en convaincre. Je m'approchai de son siège et me penchai déposant mes lèvres sur sa joue, enfin plutôt le coin de ses lèvres. Je pouvais pas partir comme ça. >.< Mais je ne voulais pas non plus provoquer chez lui comme chez moi des sentiments, sensations qui nous empêcheraient de nous remettre au travail. Je pris mon gobelet de café, le jetai dans la poubelle et sortis du bureau, direction le mie

Elle a raison sur ce point. Il ne faut surtout pas oublier que je réserve, surtout dans les cas où le restaurant en question coûte une petite fortune. Les réservations ne se voient pas dans les stand de patate frite. On aurait l'air idiot de s'y rendre sans réservation et de nous dire de sortir parce que nous avons rien affaire là.... Quoi que je savais qu'elle me taquinais parce qu'elle le savais que j'allais réserver.

-Je vais réserver, je vous le promet.

J'ai sentis ses lèvres chaudes se poser sur le coin des miens. Une sorte de aurevoir par amour avant de se laisser et de retourner travailler. Je n'ai pas pus m'empêcher de répondre à son baiser qui semblait si apéttissant. Apétissant de bonheur, de joie et d'amour. C'était si agréable....

Je fit un sourir et la regarde avec les yeux doux. Je veux pas qu'elle parte maintenant même s'il le faut absolument pour avoir la soirée juste à nous deux. Je me dit que je me sentirais moin seul si elle resterait auprès de moi. Déjà que ces jours si plus les suivant ne seront pas faciles, j'ai besoin de compagnie pour alléger la souffrance si je peut me permettre de dire ça... Je tente de l'arrêter avant sa sortit définitive de mon bureau.

-Vous pourriez apporter votre travail ici... On pourra discuter tout en remplissant nos papiers...

Il répondit alors à mon baiser tout doucement, tendrement, amoureusement et furtivement. Je m'éloignait quand il me fit une proposition surprenante.

-C'est très tentant mais je ne sais pas si...

Mais qu'est-ce que j'étais en train de dire ?! On pouvait très bien faire la paperasse ensemble. Et il avait raison ce serait beaucoup moins ennuyant. Et puis j'aimais pas le savoir seul à deux jours de Grand Zéro.

-Je vais chercher ce dont j'ai besoin.

Dix minutes, pour ne pas dire cinq, j'étais de retour avec mon ordinateur portable et mes dossiers.Je m'installai avec lui et repris mon travail où je l'avais laissé poura faire la pause café.

Ca me faiais sourir de l'entendre me dire qu'elle ne savait pas si... sans doute que la fin de sa phrase aurait été "si c'est une bonne idée". Moi je trouve cependant qu'elle est excellente. J'aurais de la compagnie, et ce serait de même pour elle. Le travail serait donc moin ennuyeux et à deux, si on bloque, sa irait plus vite pour régler les petits soucis. Mais ce qui me fit le plus sourir, c'est quand elle m'a dit qu'elle allait aller chercher ce dont elle aurait de besoin et que donc elle allait revenir.

Après une bonne dizaine de minutes, elle est revenu. Je la regarde marcher dans le couloir sans la quitter des yeux. Elle est si magnifique, si jolie que je ne peux pas m'empêcher de la regarder. Elle tiens son ordinateur portable et ses dossiers dans ses mains, et donc elle a les mains pleines. Je me lève et lui ouvre la porte de mon bureau, qui était fermé puis je retourne m'asseoir à mon bureau, alors qu'elle s'installe elle aussi pour bosser.

Sa présence m'apaise, je me sens bien quand elle est là, je me sens moin seul et j'ai l'impression de ne pas être seul au monde. Elle est là... Elle me soutien et m'aide. C'est ça qui compte... non pas qu'elle me soutienne mais qu'elle soit là, avec moi... Qu'elle soit là et qu'elle sera là également à mes côtés pour les années à venir.

Peut-être que je la demanderai en mariage plus tard, qui sais? Peut-être aurons-nous des enfants? Je sais, je pense à sa un peu trop tôt.... pourtant on m'a toujours dit de prévoir à l'avance, et cette phrase me fais réfléchir. Moi qui croyais que ma vie allait se limiter à la vie solitaire sans famille jusqu'à ma mort, j'ai enfin la chance de peut-être en faire un famille... Tout dépendera de Stella par contre...

-Vous avez beaucoup de travaux de votre côté?

Au moment où j'allais ouvrir la porte de mon pied je le vis venir m'ouvrir. Je souris et rentrai dans le bureau le remerciant de sa gentillesse et de sa galenterie. Je rallumai l'ordinateur et repris la rédaction de mon rapport. Je ne pouvais aps m'empêcher de lui jeter des coups d'oeil de temps à autre.

-Je n'ai plus grand chose... Vu ma hiérarchie je dois avoir un peu moins de paperasse que vous à faire...

Une question me traversa l'esprit : comment il allait faire pour réserver (dans l'optique d'une surprise sur le lieu) si j'étais dans la pièce. Bah... Fallait pas que je m'inquiète.... C'était Mac Taylor. Il trouvait toujours des solutions à tous les problèmes, des réponses aux questions, énigmes. C'était un omme si intelligent...

Je suis content qu'elle ne soit pas partie dans l'autre pièce pour travailler. Le lui fit un signe de tête après qu'elle m'ait remercié puis lorsque je fut assis, je lui sourit, car elle n'a pas tort du fait qu'étant donné que je suis le patron, j'ai plus de paperasse que les autres. C'es le prix à payer pour diriger un laboratoire...

-Oui je vois, à comparé de moi qui a des papiers à remplir épais comme des dictionnaires...

Je prévois appeller le restaurant un peu plus tard. Mon intérêt immédiat est de terminer à remplir ces papiers. Je verrai dans la soirée quelques heures avant notre sortie pour appeller au restaurant que je voudrais l'emmener.

Mac.... Arrête de me regarder avec ce sourire.... Ca ne me donne qu'une envie c''est de te sauter dessus... Et ce n'est absolument ni le lieu ni le moment.... Ca devait faire la troisième ou ma quatrième fois que j'essayais de mon convaincre. Un moyen radical alors me vint à l'esprit pour me ramener à la réalité, c'était deux mots : Grand Zéro. Repenser au Mac que j'allais avoir dans deux jours calma mes pulsions et après un petit sourire en réponse au sien je me replongeai dans ma paperasse.

-La quantité des papiers va avec la qualité de travail.

Je n'avais pas pu m'empêcher de lui répondre ce compliment à peine déguisé. Mes pommettes avaient dûes devenir légèrement plus rouges et je me mordillais l'intérieur de la joue en attendant sa réaction. Fallait que j'arrête ce petit jeu parce que sinon j'allais devoir changer de pièce pour le laisser finir son travail....

Je me suis replongé rapidement dans mes travaux pour m'assurer d'avoir terminé à tant. Seulement j'ai une certaine difficulté à me concentrer. Non pas parce que Stella est là... Enfin oui un peu, mais pas seulement sa présence. Je regarde la date, et me remémore de vieux souvenirs. Malgré ça, je retente avec le plus d'effort possible de me replonger dans la paperasse, mais au bout de quelques minutes, mon regard est attiré sur autre chose.

Cette fois si, ce fut ce que Stella m'a dit qui a attiré mon regard, mais aussi ma concentration sur elle. Elle a quelque peu rougit. Elle venait de complimenter mon travail? Ou peut être venait-elle de me complimenter moi? En tout cas d'un côté ou de l'autre, c'est très flatteur et très gentil de sa part.

-Vous avez beaucoup de papiers vous aussi...

Ce que je tente de dire c'est qu'elle a aussi un travail de qualité. Elle travail très bien, c'est une excellente collègue et officier au boulot. Je ne la changerait pour rien au monde.... Et côté personelle.... Bah laissez-moi le temps de commencer pour le savoir....

-Quel genre de plat vous aimez manger ?

Je rougis : il me retournait le compliment. Je lui répondis par un sourire avant de me replonger dans les formulaire que je remplissais vaille que vaille malgré l'ennui que cela apportait. Il me sortit de ce que je faisais.

-En plus d'adorer la cuisine grecque j'aime beaucoup la cuisine argentine.

Etait-ce pour le restaurant qu'il me demandait ce que j'aimais manger ou était-ce simplement pour mieux me connaître. Surement la première histoire d'être sûr. Parce que pour ce qui était de me connaître... Depuis le temps qu'on se côtoyait on avait eu l'occasion de découvrir beaucoup de la personnalité de l'autre que ce soit du positif ou du négatif.

J'aime sa timidité. Ca lui donne un certain charme. Un charme qui m'a évidement charmé. Même dans la tristesse le bonheur peu se trouver. J'espère que ce dit bonheur est à mes portes et que je pourrai enfin vivre comme tout homme de mon age, c'est à dire vivre sans être seul.

Elle me donne la sorte de nourriture qu'elle aime bien manger. Je savais bien que le fait qu'elle soit d'origine grec faisait en sorte qu'elle aime les mets grecques, mais je voulais aussi savoir si elle aimait aussi d'autres sorte de nourriture, pour me donner des idées du restaurant à laquelle je vais réserver les deux places.

-La cuisine argentine? J'ai jamais essayé encore.

Je crois que je vais réserver un table dans un restaurant qui en cuisine. Ainsi je pourrai goûter à leur plats. Je vais peut-être aimer ça qui sais ? Et puis, je suis sûr que Stella pourra me conseiller dans le choix des meilleurs plats, comme ça elle qui me connais, elle pourra choisir ce qu'elle est sûr que je mangerais et que j'aimerais.

Je le regardai. Il semblait réfléchir. Il avait cet air pensif que je j'aimais tant. Je n'arriverais pas à expliquer que ça me charme. Ca le faisait c'était tout. C'était certainement la magie de l'amour : c'était inexplicable !

Il me dit qu'il n'avait jamais mangé argentin. Je posai mon stylo et lui souris.

-L'occasion d'essayer cette cuisine est entre vos mains.

Je repris mon stylo pour continuer ce que je faisais. Je devais essayer de rester concetrée pour finir ce que j'avais à faire. Mais même doucement je devrais finir assez rapidement.[center]

Quelques heures ont passés, et c'était le moment de me préparer pour un rendez-vous que je n'ai pas eu depuis belle lurette. Oui oui. Mac Taylor a un rendez-vous avec sa petite-amie au restaurant. Et je dois avouer que j'ai drôlement hâte d'y être, pour changer d'air et changer quelques peu mes pensés.

C'est après que notre travail soit finis que je suis sortit de mon bureau pour quelques temps, pour ensuite appeller dans un bon restaurant pour résever des places pour moi et Stella. Bien sûr, j'ai choisi un restaurant qui servais des plats argentins. C'est un restaurant qui n'est pas le genre d'endroit où lon irais tous les jours. C'est un restaurant assez chic, et donc les vêtements sont importants.

Toujours au boulot, je sort tranquillement pour aller chez moi. Au stationnement j'entre dans ma voiture et démarre, pour finallement m'engager sur la route. Arrivé, je laisse mes clés sur la table dans le couloir près de l'entrée et je me rend rapidement à ma chambre, où je prend quelques vêtements avant de me rendre à la douche. Il faut bien que je soit nickel pour Stella. J'aurais pu dire le restaurant, mais je me balance bien de ce qu'ils peuvent bien penser. Je voulais faire bonne impression à Stella. Lui montrer que je ne suis pas un homme sale, même si je porte fréquement des costumes pour le travail.

Habillé et parfumé, je sort de la salle de baon les cheveux mouillés. Marrant, mais j'ai oublié de les sécher, et je ne risque pas de m'en rappeller. Je prend un petit café pour me garder éveillé, puisque je n'ai toujours pas dormis depuis que j'ai vu Stella dans mon bureau...

La journée s'est passé plutôt longuement après un appel que j'ai reçus de Flack comme quoi je devais me rendre quelque part. On a dû se séparer, mais la chance est que j'avais terminé ma paperasse à temps pour la soirée. Je n'avais pas trop la tête dans les enquêtes aujourd'hui. J'avais la tête ailleurs. Je réfléchissait beaucoup, et je risquais toujours de m'endormir partout. Bref, je n'ai pas servis à grand chose sur le terrain durant cette journée, avec l'espoir que ce soit différent demain. Devrais-je plutôt prendre congé? Pas question. Le travail d'abord et avant tout.

Je me rend à nouveau dans la salle de bain et je me regarde dans le mirroir. Oui, ya des raisons pour tout le monde de s'inquieter, et je le comprend mieux maintenant. Je n'aurais jamais pensé que mes cernes était aussi gros. Pourtant ça ne fait que depuis quelques jours que je ne dors pas, quoi que c'est peut-être suffisant aussi... Je vais tenir le coup au restaurant. Si ce n'est pas le cas, alors je ne sais pas comment je réagirais à mon réveille, si je dors.

Je me fait des peur pour rien. Je devrais plutôt penser à quelque chose d'autre. Mais alors que je me dit ça, je passe devant le calendrier et je regarde la date. Une vague de tristesse m'a à nouveau envahie, comme ce matin. Moi qui croyais m'être débarrassé de ces pensés "néfastes", je me retrouve avec ça une heure avant le rendez-vous. Ce n'est pas de la chance.

Je me rend à ma chambre et j'ouvre mon placard. J'y sort mon ballon de plage. Je le tourne, le regarde dans tous les sens possible, les couleurs vive sur cet objet gonflé et qui devrais être une chose remplis de bon souvenir. Pourtant pour moi, c'est remplis d'évènnement sombre, de douleur. Je m'assied sur le lit, je continue à le regarder dans mes mains, écoutant le bruit de mes mains lorque je les décolles doucement de la boule qui referme de l'air. Le souffle, le dernier. C'est la dernière chose qui parviens à garder Claire en vie dans ma mémoire, sans quoi, il aurait peut-être réussi à m'emporter dans la mort.

Je redépose le ballon dans le placard et le referme. Je souffle quelques instant. C'est maintenant le moment. Je dois passer à autre chose. Ce sera difficile comme ce pourrais être facile, mais le pas que je m'apprête à faire va me permettre de guérir de bien des maux, j'en suis sûr et certain. Je connais Stella, et je sais qu'elle sera toujours là dans ces moments. Alors je ne dois pas craindre l'avenir.

Je me rend à la voiture et je démarre. Je m'engage sur la route et me dirige tranquillement vers l'appartement de Stella.

Tandis que Mac partait sur le terrain avec Don j'eus des analyses au labo à faire. Entre temps nous avions tous les deux fini notre paperasse, moi avant lui et j'en avais même profité pour l'aider afin de gagner du temps. Je ne suis pas sure que je fus d'une grande aide à Lindsay car depuis que j'étais passé voir Mac poue le café j'étais sur mon petit nuage. Bien sûr je savais qu'un chemin parsmé d'embûches nous attendait, que pour Mac ce ne serait pas facile, mais alors pas facile du tout surtout que l'on était au mois de septembre et à deux jours de Grand Zéro.

Mais j'allais au restaurant ave lui ce soir... Et pas en tant que collègue ou meilleure amie... C'était notre premier rendez-vous amoureux. Rien que cette idée me faisait avoir un souire qui s'étendait d'une oreille à l'autre. J'avais l'impression que rien ne pouvait porter de l'ombre sur le rayon de Soleil qu'apportait cette soirée dans ma vie même la gigantesque masse de ténèbres qu'entrainait avec elle l'arrivée de la cérémonie de Grand Zéro... Enfin c'est ce que je croyais... A la réflexion peut-être en serait-il autrement : Mac était si... Imprévisible. Avec la fatigue qu'il accumulait ces derniers temps qui sait ce qui pourrait arriver... Mais en même temps je saivais qu'il n'y aurait pas de problème pourtant Mac restait humain et continuant à ce rythme il finirait bien par craquer. "Cest pour ça ma fille que tu seras là pour l'empêcher de faire une connerie ! " Me raisonna une poetite voix. "Il n'arrivera rien tant que tu seras là pour le soutenir !"

Finalement Lindsay avait cerné qu'il se passait quelque chose et elle m'avait laissé filé. Je n'avais rien dit au sujet de ce qui préoccupait mes pensées mais peut être avait elle devinée. J'allais donc au stationnement (A) pour prendre mon véhicule et je pris la direction de mon chez moi. Là la salle de bain m'attendait. Je devais tout simplement être parfaite. Je pris donc une bonne douche. L'eau froide sur mon visage me fit que du bien. Soudainement je lâchai le jet réalisant vraiment la soirée qui m'attendait. Un petit sourire s'afficha sur mes lèvres. Cependant je ressentis de nouveaucet étrange malaise au moment de choisir ma robe. La dernière fois c'était... Non je ne devais pas penser à cet homme qui m'avait séquestré dans mon propre appartement. Là c'était Mac je le connaissais. Je savais que jamais il ne serait capable d'une telle chose ! Frankie aussi tu pensais le connaître sussurra une petite voix à mon esprit. A me faire des réflexions pareilles j'avais envie de me foutre des baffes. Jamais au grand jamais Mac ne ferait le moindre mal à une femme !

Finalement je pris une robe longue, simple mais élégante. Après un dernier regard à ces robes que j'avais porté pour lui je fermai le placard. Comment avais-je pu les garder ? Cette queestion me taraudait maintenant l'esprit tandis que je l'enfilais. La robe mise j'enfilai des collants : en cette mi-septembre il faisait déjà bien frisquet à New-York. Puis j'enfilais une paire de ballerines avec des petits talons. Je ne portais jamais de talons aiguilles vraiment pointus et ça n'allait pas changer là d'un coup. Je risquais de me casser la figure et d'être ridicule oui !

Nouveau passage à la salle de bain devant le miroir : qu'est ce que je faisais de mes cehveux? Attachés ou détachés ? Première chose : les sécher ! Appareil en main je laissais le souffe chaud parcourir mes boucles brunes. Fianlement je décidai de relever mes cheveux à l'arrière avec une pince. Ma main attrapa ensuite mon flacon de parfum préféré dans le placard. Quelques gouttes à peie suffisaient pour que la délicate odeur de fleur se diffuse un peu autour de moi et que les autres puisssent en profiter. Pus c'était trop. Dernière étape : les bijoux ! Je fis simple un collier et ma jolie montre (l'autre étant pour le travail, si je l'abimais c'était pas grave)

Voilà j'étais prête je n'avais plus qu'à attendre mon prin... Enfin Mac quoi, mon Mac, que j'avais attendu si longtemps et que j'aimais tellement. Dieu que je l'aimais ! Puis la sonnette retentit. J'allai donc à la porte. Mon coeur fit un bon quand je le vis à travers le judas. Puis j'ouvrai la porte un sourire au lèvre. Il étai magnifique, beau comme un coeur. Comment pouvait-on ne pas tomber sous le charme ?!