Comment ça j'avais dit que je le ferais pas....
Mais c'était pour te garder la surprise MA Grumelle
pfff Moi écrire sur House.... C'est pas des bouses qu'il va pleuvoir à ce stade là (des billets de tgv pour une destination bien précise c'est possible ? )
NC-17 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Pairing hum je vous laisse découvrir
Lire avant Gourmandise et obsession de fanhouse
Les personnages appartiennent à la Fox (et je leur laisse ils se débrouillent bien mieux que moi)
Ce fut la douleur a sa jambe qui réveilla House. Il bougonna en sentant ses mains moites pour finalement ouvrir les yeux. Il cligna des paupières plusieurs fois. Non il ne rêvait pas : Cuddy était bien allongée nue à ses côtés sur le sol carrelé fraise de la cuisine. Un petit sourire s’étala sur ses lèvres. Il se redressa à la recherche de son pantalon et de son tube de vicodine. Alors qu’il était à deux doigts de le saisir une main le retint.
-Ne partez pas, murmura la jeune femme.
-Je veux juste…
-Pas de vicodine !
House la regarda sourcils haussés. Il prit une mine plaintive quand les yeux bleus de sa directrice croisèrent les siens.
-Mais... je souffre !
Au regard sévère de la jeune femme il rajouta en attrapant la bombe :
-En plus il reste de la chantilly.
-House !
-D’accord d’accord…
House se rallongea à ses côtés. Après une hésitation il la prit contre lui. Non pas que cette soudaine proximité le gênait… Bien au contraire… Il en avait juste tellement rêvé qu’il avait dû mal à réaliser que ça s’était vraiment passé.
-C’était…
-Je sais dit il dans un sourire.
-House ! Le reprit-elle pour la deuxième fois.
Il la regarda innocemment ce qui lui décrocha un sourire après quelques secondes de moue réprobatrice. Il la contempla quelques instants avant de finalement lâcher :
-Je ne pensais pas que vous seriez aussi fraîche que dans mes souvenirs.
Elle se décolla sourcils froncés.
-House ! Dites toute suite que je suis veille !
-Noooooon jamais je n’oserais.
Elle se leva et commença à ramasser ses affaires. House se releva également et l’attrapa par le poignet et la plaquant contre le mur murmura à son oreille :
-Cuddy… Ne faites pas l’offusquée…. Vous savez très bien que c’était un compliment…
Elle essaya de se dégager. Elle savait très bien que c’était sa manière à lui de montrer son attachement mais cela ne changeait rien au fait qu’il l’avait vexée. Son baiser l’immobilisa.
-Laissez-moi me faire pardonner…
- Alors laissez-moi finir la chantilly.
Elle lui échappa, ramassa la bombe et commença à se rhabiller. House la regarda faire, déçu.
-Je suis sure qu’avec des cerises ou des mûres ça sera très bien aussi
La jalousie qu’il ressentit lui fit comprendre à quel point il tenait à elle.
-C’est quand même avec la fraise que c’est le meilleur non ? Se risqua-t-il à demander.
Elle se retourna vers lui puis jeta un coup d’œil à l’étiquette de la bombe.
-Le modèle de présentation se fait avec des fraises…
-C’est parce que c’est le meilleur choix que vous puissiez faire.
House parcourut la distance qui les séparait et l’embrassa fougueusement. Il lui ôta les quelques vêtements qu’elle avait remis et alors qu’il voulut la prendre dans ses bras il ressentit de nouveau une douleur dans sa cuisse. Il ne put masquer qu'il avait mal.
-Ca va ?
-Je… Je préférerais qu’on aille étaler la chantilly dans votre lit…
-Alors vous nettoierez les draps.
Il bougonna mais ne répondit pas. Elle l’entraîna jusqu’à sa couche et elle l’allongea sur le lit. D’une main elle caressait son torse et de l’autre agitait la bombe. Finalement elle la vida jusqu’à la dernière goutte sur le corps nu de son amant. La sentir lécher la crème entraîna des grognements de plaisir et il sentit qu’il était temps d’abréger les préliminaires lorsqu’elle passa près de son intimité. Il renversa les positions.
-Moi aussi j’en veux…
Et dans un baiser qu’ils approfondirent sa langue retrouva la saveur de la chantilly avant de se mêler à sa consœur pour une danse endiablée. Puis essoufflés ils se séparèrent mais les lèvres du diagnosticien ne prirent pas une minute de répit et effleurèrent la peau de l’un des seins de Cuddy qui gémit.
-House…
Il ne voulut pas se faire prier cinq minutes de plus et la pénétra sentant que de toute manière il n’allait pas pouvoir se contenir bien plus longtemps. Il avait envie d’elle et ne désirait plus qu’une chose : faire un avec elle à jamais. Elle rejeta la tête en arrière lorsqu’il commença de bouger en elle ce qui lui offrit la possibilité de prendre possession de son cou. Elle l’encercla de ses jambes et il comprit qu’elle était prête à l’accueillir en lui.
-Je t’aime, murmura-t-il alors à son oreille.
Puis il lui donna sa semence de vie et ils atteignirent ensemble les sommets du plaisir. C’est essoufflée qu’elle lui murmura qu’elle aussi, elle l’aimait. Il resta quelques instants sans bouger profitant de cet instant d’union. Puis il se laissa tomber à ses côtés. Elle se blottit contre lui.
-Rah je suis tout collant maintenant, râla-t-il.
-Mais ça ne te plaît pas que je sois collée à toi ?
House mit quelques secondes à percuter sa question trop perturbé par le fait qu’elle l’ait tutoyé.
-Si si… C’est juste que…
-Ne t’inquiète pas… J’ai l’habitude de t’entendre râler… Je n’ y fais même plus attention.
Devant la mine boudeuse de son amant elle déposa un baiser sur ses lèvres.
-Mais j’aime que tu râles Grégory House.
Il sourit et l’embrassa avant de fermer les yeux. Elle tira le drap sur eux et fit de même. Morphée les emmena tous les deux dans le monde fabuleux des songes.
Fin